Avenir de l’énergie nucléaire
structure des sources d’énergie dans le monde
Vu l'épuisement des ressources énergétiques non renouvelables et les problèmes amenés par la pollution et les déchets, il faudra développer des sources d'énergie alternatives. Celle-ci devra satisfaire à trois critères (les trois " E ") : Energie, Economie, Ecologie. Elles devront être suffisantes en quantité, être économiquement rentables (chacun devra pouvoir se les payer) et respectueuses de l'environnement. Aujourd'hui, aucune source d'énergie ne peut prétendre respecter ces trois critères à la fois.
Dans dix ans, le contexte énergétique sera différent de celui d'aujourd'hui. De fait, si l'on ne prend aucune mesure, le pétrole et le gaz naturel seront épuisés bien avant 2050, peut-être d'ici 2030. De plus, la population mondiale croît inexorablement et si l'on désire que tous les êtres humains aient un niveau de vie décent dans un processus de développement durable, il faudra impérativement parvenir à limiter l'accroissement démographique.
L'énergie nucléaire n'est pas une énergie parfaite, bien qu’elle soit une énergie suffisante en quantité, relativement peu coûteuse et quasi inépuisable, elle n’est pas tout à fait écologique, bien sûr les rejets toxiques directs sont quasi inexistants (pas de fumée...), mais elle réchauffe certaines rivières, fleuves, certains lacs ; et de plus, le plus gros problème, c'est qu'elle produit des déchets radioactifs restant dangereux, pour certains, pendant des dizaines de milliers d'années. Mais, pour l'instant, il n'existe pas d'énergie vraiment meilleure et qui réponde aux exigences des " 3 E ".
Nous ne pouvons pas donc nous passer de cette énergie, ou en tout cas, pas avant de nombreuses années. En attendant de trouver une source d'énergie satisfaisant de telles exigences, nous pourrions améliorer les performances de l'énergie nucléaire, Il existerait éventuellement une autre solution dans la fusion nucléaire qui, au lieu de couper des atomes d'uranium en deux, serait de fusionner des atomes stables entre eux. On éviterait ainsi de produire des déchets radioactifs, et l'utilisation d'atomes stables est bien sûr préférable à l'utilisation de l'uranium qui est instable. Mais encore une fois, la technologie dont l'on dispose n'est pas suffisante pour maintenir une stabilité dans la réaction, du fait des températures largement supérieures à celles utilisées jusqu'ici. Un premier réacteur à fusion est en train de se construire à Cadarache et devrait pouvoir fonctionner de façon expérimentale en 2020.
Il reste donc de l'espoir en l'avenir d'un monde plus respectueux de l'environnement et des générations futures!
Dans dix ans, le contexte énergétique sera différent de celui d'aujourd'hui. De fait, si l'on ne prend aucune mesure, le pétrole et le gaz naturel seront épuisés bien avant 2050, peut-être d'ici 2030. De plus, la population mondiale croît inexorablement et si l'on désire que tous les êtres humains aient un niveau de vie décent dans un processus de développement durable, il faudra impérativement parvenir à limiter l'accroissement démographique.
L'énergie nucléaire n'est pas une énergie parfaite, bien qu’elle soit une énergie suffisante en quantité, relativement peu coûteuse et quasi inépuisable, elle n’est pas tout à fait écologique, bien sûr les rejets toxiques directs sont quasi inexistants (pas de fumée...), mais elle réchauffe certaines rivières, fleuves, certains lacs ; et de plus, le plus gros problème, c'est qu'elle produit des déchets radioactifs restant dangereux, pour certains, pendant des dizaines de milliers d'années. Mais, pour l'instant, il n'existe pas d'énergie vraiment meilleure et qui réponde aux exigences des " 3 E ".
Nous ne pouvons pas donc nous passer de cette énergie, ou en tout cas, pas avant de nombreuses années. En attendant de trouver une source d'énergie satisfaisant de telles exigences, nous pourrions améliorer les performances de l'énergie nucléaire, Il existerait éventuellement une autre solution dans la fusion nucléaire qui, au lieu de couper des atomes d'uranium en deux, serait de fusionner des atomes stables entre eux. On éviterait ainsi de produire des déchets radioactifs, et l'utilisation d'atomes stables est bien sûr préférable à l'utilisation de l'uranium qui est instable. Mais encore une fois, la technologie dont l'on dispose n'est pas suffisante pour maintenir une stabilité dans la réaction, du fait des températures largement supérieures à celles utilisées jusqu'ici. Un premier réacteur à fusion est en train de se construire à Cadarache et devrait pouvoir fonctionner de façon expérimentale en 2020.
Il reste donc de l'espoir en l'avenir d'un monde plus respectueux de l'environnement et des générations futures!